T. Berns, « Conflit, guerre, violence et corruption », in Multitudes, n°13, Paris, 2003, p.177-181 Exils
Thomas Berns montre l’exigence d’une oeuvre qui cherche à penser le conflit comme ce qui doit être maintenu : cela signifie non seulement inscrire l’ordre de la loi dans le désordre du conflit, mais aussi faire de la guerre l’horizon maintenu de la paix, savoir que la loi ne s’impose que comme violence et qu’elle ne doit se penser que comme exposée à la corruption… bref c’est précisément ce avec quoi rompt le politique centré sur la souveraineté.
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