La session, organisée par Julie Allard, se propose de présenter comment l’aspiration légitime à une justice de qualité a abouti en France et plus généralement en Europe au développement d’une approche profondément managériale de la justice, qui reflète l’impact des théories néolibérales sur les institutions et leur fonctionnement.
La gestion du service public de la justice s’est ainsi traduite par la mise en place d’instruments de contrôle de la qualité et de la production judiciaire, de la performance des acteurs de la justice et du degré de satisfaction des usagers de la justice.
Les regards croisés et pluridisciplinaires sur cette politique judiciaire et ses fondements théoriques (néolibéralisme) nourriront la réflexion sur l’évolution et les enjeux du modèle de justice en train de se constituer.
Informations complémentaires et programme complet dans le document ci-joint.